La phrase du jour

“"Si le théâtre oublie le monde, le monde finira pas oublier le théâtre". Bertolt Brecht



jeudi 6 février 2014

Avant-Goût : A eux de jouer

De l'écriture jusqu'au plateau.

Une nouvelle répétition de "Comme un parfum d'épices dans les odeurs de menthe" par le théâtre de l'Aparté

Réflexion de Théo sur sa partenaire Emma (rôle respectivement de Naïm et de Sohrab).
Emma et Théo. Image Annie Jouasset


Emma est une parfaire partenaire de théâtre… j'adore jouer avec elle car elle est très sérieuse et le personnage de Sohrab est fait pour elle. Elle mélange une telle sensibilité et une sincère colere devant le choix de Naim. J'aime l'évolution mentale qu'elle donne a son personnage

Théo.

Ci-dessous, la scène de Miréla et de sa mère.

Le jupon ou le prix d'un chien!

La mère : ... Au fait, j’t’ai dit ?
Le clébard échappé, le tout frisé, Gino l’a retrouvé. Il l’a revendu.
Avec le fric, il m’a acheté un jupon à volants.

Miréla : Pas le chien qu’il a revendu…
C’est la peau… le chien,
Il l’a égorgé et il l’a filé à bouffer au tigre.
D’un chien deux coups 


Céline et Sandrine. Image Annie Jouasset
Céline. Image Annie Jouasset
Miréla : (Ramasse la poupée, la berce et lui parle.)
Chienne de vie, hein, Princesse ! (Elle la nettoie avec un filet de salive.)
Finalement, t’es pas si moche.
Une fois décrassée tu vaudras bien… trois dollars.
Je pourrais aussi te garder pour la tendresse, bébé.



Danielle Pugnale le metteur en scène 

L'homme et Miréla
Réflexion de la comédienne Céline Samson:
Enfant-femme, révoltée,
éprise de liberté tout autant que tu es prisonnière de ta condition sociale, 
rêveuse et pourtant tellement engluée dans les méandres de ta vie, 
un principe de réalité qui te rattrape alors que tu ne penses qu'à t'envoler. 
Mirez-la Mirela, car jusqu'à présent personne n'a posé les yeux sur son cœur...


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