Ce commentaire m'a fait un plaisir fou car il
émane d'un auteur de théâtre que j'admire, dont j'ai joué les textes
et qui est le seul auteur français à avoir un théâtre au Japon entièrement
consacré à ses oeuvres.
Bien chère Louise,
J'ai lu avec un grand plaisir
"Se départir"... Vous avez une belle écriture, efficace, précise.
L'histoire est bien menée et captive. J'ai été parfois très troublé. Bravo.
J'étais ravi. Vous avez du souffle et bien du talent, ça fait plaisir.
J'ai lu aussi votre "Don
Juan- Elvire 1699", ce n'est pas ce qui m'attire le plus au théâtre, mais
c'est bien foutu, bien mené, bien écrit, original et ça ne manque pas d'humour...
Encore je vous redis le plaisir que j'ai eu à vous lire, chère
amie.
Guy Foissy
Je lisais notamment cet article qui me semble bien faire le lien entre les personnages et Egon Schiele
RépondreSupprimerL'oeuvre d'Egon Schiele se comprend par les épreuves et les événements qui ont affecté sa vie et tous les moments les plus marquants de son existence, depuis la mort de son père, tel son incarcération, sa séparation avec sa maîtresse, ou celui de son mariage sont des moments d'une émotion intense qu'il s'est appliqué à traduire au travers ses toiles. Cependant au-delà du caractère anecdotique ou autobiographique de l' œuvre, Egon Schiele est allé à la recherche de son être au travers cette expression picturale si caractérisée qui émane de toute sa production. Ses nombreux autoportraits sont le témoignage de cette quête intérieure constante chez lui.
Le Monde des Arts.
Merci pour ces informations.
Nicole De Bodt
RépondreSupprimerMerci beaucoup de cet article du Monde des Arts. Je n'ai pas choisi Egon Schiele au hasard dans le roman. C'est un peintre qui "résonnait" parfaitement avec mes personnages déchirés. Car d'un point de vue strictement événementiel l'exposition n'a pas eu lieu en 2009 comme je le dis dans le roman, mais en 2005 avec d'autres artistes KoKoschka, Klimt et si mes souvenirs sont bons Moser. J'ai vu sur votre page Facebook que vous vous intéressez à l'art. Encore merci. Louise