La phrase du jour

“"Si le théâtre oublie le monde, le monde finira pas oublier le théâtre". Bertolt Brecht



lundi 11 mars 2013

A propos de "Se départir" suite...

La peinture dans le roman :  des mots aux images.

Nous avons montré précedemment les tableaux évoqués par Thibaut. 

Quelles sont les peintures d'Eléonore ?

Le grand vaisseau fantôme qui est au dessus de la cheminée de Ti Waremm à Bréhat

" J’ai répondu machinalement en regardant les longs rideaux grège gonflés par le vent du soir comme les brigantines du grand vaisseau fantôme qui hantait le dessus de la cheminée de notre maison à Bréhat."

On peut imaginer ce tableau comme ce vaisseau hollandais (huile sur toile)


En réponse à Thibaut qui citait page 105, Botticelli, Crancah, Baldung.

N’y voyez aucun vice, le corps des femmes est dessiné pour le ravissement des yeux et de l’’âme. Je reste bouche bée devant l’’Ève de Cranach, que dire du Printemps de Botticelli ? Ma préférence va cependant à La Prudence et la musique de Baldung. La sensualité, l’’animalité même de ces créatures allégoriques me fascinent. Votre serviette a glissé, c’’est charmant. 

Elle pense à L'Adam de Claude-Marie Dubuffe (1790-1864)

"Si j’étais en tenue décente et surtout moins en colère, je lui dirais que sous le pinceau du peintre ou le ciseau du sculpteur le corps des hommes est tout aussi séduisant. Je me rappelle une photo, parue dans je ne sais plus quel magazine, d’un tableau romantique de Dubufe je crois – peu importe l’artiste – un Adam à la peau de lait, au corps souple, à la crinière brune, le visage encadré d’une barbe ondulée. C’était si sensuel." p 106.





Cf: lien  sur la Tribune de l'Art 



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